dimanche 16 mars 2025

BOSSE SUR UN SEIN : AMBER TURNER A CRAINT LE PIRE...



LA  VEDETTE  DE  TÉLÉ-RÉALITÉ  A  EU  PEUR  D'AVOIR  LE  CANCER  DU  SEIN  L'AN  PASSÉ.


En avril dernier, anxieuse, et très inquiète après avoir découvert une bosse sur un de ses seins, l'actrice et influenceuse anglaise Amber Turner, s'est précipitée d'urgence à l'hôpital afin de savoir si cette anomalie n'était pas le signe d'un cancer.  Les médecins l'ont rassurée : "rien n'était cancéreux".  C'était un implant mammaire qui s'était rompu et qui laissait du silicone couler et s'infiltrer dans ses ganglions lymphatiques.


Ce problème résultait d'un défi difficile et d'une cascade effectuée dans le cadre de l'émission de télé-réalité "Celebrity SAS : Who Dares Wins".  Amber avait dû se battre dans l'eau avec le chanteur Gareth Gates.  Quelques mois plus tard, alors qu'elle tournait la série TOWIE (The Only Way is Essex), à Bali, elle a trouvé la grosseur près de son aisselle.

Turner a expliqué qu'elle a passé deux IRM mais les tests n'ont pas déterminé si la fuite de silicone provenait d'un implant précédent qui avait été retiré ou si elle venait de ses nouveaux implants plus récents.  «La seule façon dont ils vont le savoir, c'est en opérant et en refaisant mes seins». 
 

Ce que les médecins savent, cependant, c'est que ces écoulements de silicone dans les ganglions lymphatiques ne sont pas toxiques ou nocifs pour l'actrice de 31 ans, qui vit maintenant à Dubaï.  Celle-ci n'envisage pas la nouvelle chirurgie de réfection de sa poitrine jusqu'à ce qu'elle ait des enfants puisque sa condition actuelle ne représente pas un danger immédiat.  Mais elle devra s'y résoudre éventuellement.

Membre de TOWIE depuis 2017, Amber Turner a été moins présente sur le plateau de tournage de l'émission ces derniers temps.  Elle désire prendre plus de temps pour elle, et se consacrer davantage à ses amies (dont Courtney Green, Chloe Meadows, Elma Pazar et Dani Imbert, qui forment un groupe appelé "Girlband).

Son nouvel amoureux Archie Chandler fait aussi partie de sa vie (photo ci-dessous), et elle s'occupe toujours de son blogue d'influenceuse de mode, qui compte 20 000 abonnés pour ses produits et looks personnalisés.  Son compte Instagram personnel est suivi par 850 000 fidèles admirateurs et admiratrices.



Même si elle est très reconnaissante pour avoir été si longtemps une vedette de TOWIE, à laquelle elle reste attachée et participante, Amber donne maintenant la priorité à sa vie privée, en ayant l'impression d'être arrivée à un point où elle a tout donné ce qu'elle pouvait donner à la populaire télé-réalité.  Elle a le sentiment que sa vie réelle a été trop mêlée à celle vécue dans un rôle, devant les caméras.  Cela est aussi vrai en ce qui concerne ses nombreuses relations amoureuses antérieures.

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lundi 27 mai 2024


PRESQUE  30  ANS  APRÈS  "STRIPTEASE",  DEMI  MOORE  RENOUE  AVEC  DES  SCÈNES  DE  NUDITÉ  DANS  "THE  SUBSTANCE".

L'actrice américaine Demi Moore était de passage au Festival de Cannes ces derniers jours pour aider à faire la promotion de son plus récent film : "The Substance".  Dans cette production dirigée par Coralie Fargeat, l'actrice de 61 ans joue le rôle d'une star du cinéma qui refuse de vieillir, et qui décide de prendre une drogue qui crée une version rajeunie d'elle-même.

Comprenant que, pour les besoins du scénario, et pour totalement incarner son personnage, elle doive tourner des scènes de nudité, Demi Moore s'est prêtée à cette expérience, mais non sans difficulté.  Elle s'est sentie très vulnérable, mais elle a loué le respect, et la façon dont elle a été entourée sur le plateau de tournage, pour ces séquences osées.



Bien qu'elle ait revendiqué, pour les femmes de son âge, il y a deux ans, le pouvoir d'être toujours séduisante et désirable, elle est consciente qu'elle n'est plus celle que les magazines populaires des années '90 ont consacré comme étant une des plus belles femmes du monde.

Malgré toutes les chirurgies plastiques qui ont "sauvé" son apparence au cours des années, Moore se rend compte que son miroir ne ment pas lorsqu'elle s'y regarde.  Le temps et les effets des projecteurs ont laissé des traces de vieillissement sur sa peau.  «Il y a des moments où je me regarde dans le miroir et je me dis que ce n'est pas possible.  L'être humain est programmé pour vieillir, ce n'est pas toujours très amusant, a-t-elle déclaré récemment.

Certains critiques ont déploré ses efforts, visant à se rajeunir physiquement à l'aide de la chirurgie esthétique, en disant que ces interventions l'avaient rendue méconnaissable.  Son visage émacié, sa peau flétrie, la cellulite, ses formes tombantes, ne devraient pas l'inciter à poser en bikini comme elle l'a fait lors de son 60e anniversaire.

Mais Demi Moore se sent libre de paraître "sexy" malgré son âge avancé, et les critiques.  «Je me sens plus libre aujourd'hui qu'à 20 ans.  Cela fait partie du processus d'acceptation de soi.  Sans doute parce qu'il ne faut pas seulement s'accepter, mais aussi s'apprécier», conclut-elle.

S'apprécier telle qu'elle est maintenant.  Être fière d'avoir traversé le temps et de briller encore sur les grands écrans, grâce à son talent.  Elle qui a su tirer son épingle du jeu à travers une enfance difficile marquée par un père absent, une mère alcoolique, un viol subi lorsqu'elle avait 15 ans, ainsi qu'une carrière et une vie personnelle assez tumultueuses, parsemées de hauts, de bas, "généreuses" en controverses.



Des controverses notamment pour avoir posé nue, pour le magazine "OUI", à l'âge de 16 ans, puis, l'année suivante, également dans son costume d'Ève, pour "Celebrity Sleuth", une revue de mode européenne.

En 1995 et en 1996, Moore deviendra l'actrice la mieux payée d'Hollywood.  Dans les films "The Scarlet Letter", et surtout dans "Striptease", elle apparaîtra dans son plus simple appareil.

Pour "Striptease" on se disputera pour obtenir son concours, et les enchères monteront à 12,5 millions de dollars américains, un record à l'époque, pour une actrice.  D'ailleurs Demi Moore a été la première actrice à obtenir un salaire égal à celui des hommes pour des premiers rôles.

Déjà, en août 1991, sa photo de femme enceinte, complètement dénudée, pour le magazine "Vanity Fair", avait aussi fait scandale.  Elle récidive l'année suivante, dans la même publication, en posant en peinture corporelle (body paint), une oeuvre de la célèbre peintre Joanne Gair.  En 2019, à 57 ans, elle se dévêt aussi pour apparaître dans la revue "Harper's Bazaar".

À Cannes, ces jours derniers, Demi Moore a été acclamée par la foule des amateurs de cinéma, et sa performance dans "The Substance" a été saluée par les critiques du 7e art.  La preuve qu'on l'aime encore, comme elle est, comme le chante Billy Joel dans le montage photographique suivant...


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Une autre star dont la beauté défie les années : la super modèle Stephanie Seymour, sur mon blogue "Stars on Beach" :

samedi 30 septembre 2023



JENNIFER LAWRENCE : SE RENOUVELER POUR RETROUVER LA FAVEUR DU PUBLIC...

C'est une Jennifer Lawrence transformée qui est réapparue en public, deux ans après avoir quitté la vie publique, s'être mariée, et avoir eu un enfant.  Une transformation nécessaire, après une saine période de réflexion au sujet de son identité, des valeurs qu'elle souhaitait incarner, de la vie authentique qu'elle voulait mener.  

Repenser son métier d'actrice aussi.  Travailler dur.  Ne plus céder à la facilité, comme elle le faisait ostensiblement depuis le début de sa carrière.  Peaufiner son talent.  Mieux comprendre son cinéma, en s'impliquant dans la production des films auxquels elle veut vraiment participer.  Qu'elle choisit par passion, par un réel et profond intérêt. Pas seulement pour l'argent et les grands succès au Box Office.

À 33 ans, fini les folies de jeunesse et les pitreries pour attirer l'attention.  Séparer vie publique et vie privée.  Militer pour des causes sérieuses et importantes, au point de vue féministe.  Se calmer, aussi.  Ce n'est plus la fin du monde si un de ses films n'est pas bien accueilli par la critique, ou le public.  Du moment qu'elle a fait de son mieux pour bien jouer son rôle, qu'elle l'a «travaillé» le plus fort qu'elle a pu, en ne négligeant rien, en s'appliquant au maximum.



Avant la crise des médias sociaux qui l'a littéralement détruite en 2014, peu de temps après la consécration de sa carrière par l'obtention de l'Oscar de la meilleure actrice, dans un rôle principal, pour le film «Silver Linings Playbook» (2012), tout avait si bien été.  Elle était devenue l'actrice la mieux rémunérée du monde, avec des cachets de 20 millions de dollars par film.

Outre son Oscar, l'industrie cinématographique avait salué son immense talent à de multiples reprises : trois Golden Globe, un prix BAFTA, sept MTV Movie Awards (dont cinq pour ses brillantes performances dans la série «The Hunger Games», qui l'a vraiment rendue célèbre), six People's Choice Awards (dont trois pour ses rôles dans la série »X-Men»), et encore quelques autres trophées un peu moins prestigieux.

Mais voilà, est-ce que de tels succès, et autant d'argent, à un si jeune âge (elle a été la 2e plus jeune artiste de l'histoire du cinéma à gagner de si grands prix), ont fini par l'étourdir, et la faire tomber dans des excès déplorables ?



Pendant un temps, au début des années 2010, quand Jennifer Lawrence, alors âgée d'à peine vingt ans, a vraiment vu sa carrière décoller en flèche dans les super séries «X-Men» et «The Hunger Games», on la voyait partout.  Dans tous les talk shows à la télévision, dans les divers galas majeurs du show business, dans les grands magazines, etc.

Excitée, excentrique, parfois même un peu vulgaire ou rustre, elle se donnait alors en spectacle en brisant les conventions, en tenant à se faire remarquer.  Mais, jouissant de la faveur populaire, on trouvait ça «cool» de la voir manger des pointes de pizza ou des ailes de poulet «sur le pouce». De boire du champagne à même la bouteille.  De s'éclater dans de multiples partys bien arrosés.  De conter des anecdotes un peu trop salées.  Bref, d'amuser la galerie par ses gestes ou ses paroles passablement déplacés.

On a bien ri lorsqu'elle a chuté en grimpant l'escalier menant à la tribune d'honneur pour aller cueillir son Oscar, en 2013.  Mais lorsqu'elle a récidivé l'année suivante, lors de la même cérémonie, les observateurs, via les réseaux sociaux, ont trouvé son comportement suspect, et ils l'ont critiquée en disant qu'elle en faisait trop.  Trop artificiel, trop faux, trop racoleur...



La même année, le vol de ses photos intimes (nudité), destinées à son amoureux de l'époque, furent publiées sur le web.  Ce viol de son intimité lui causa un traumatisme dont elle dit qu'elle ne se remettra jamais. Elle estime que c'est un crime sexuel auquel participent toutes les personnes qui vont voir ces clichés sur internet.  Nul doute que cet incident malheureux a entaché sa réputation.

Soudain, sa surexposition partout, que ce soit sur les scènes artistiques ou médiatiques, a commencé à agacer et à lasser le public.  Ses bouffonneries, ses comportements bizarres, ses airs affectés, et son désir ardent de se singulariser, vinrent à ennuyer les gens.  Les critiques sur les réseaux sociaux se sont mis à la descendre.  À s'acharner sur elle.

Le coup fatal est venu en 2017 quand le scandale Harvey Weinstein, et le mouvement #MeToo, ont monopolisé les actualités.  Jennifer Lawrence a été pointée du doigt, car tout le monde savait, dans la colonie artistique, qu'elle était une amie proche de l'agresseur.  Elle en avait même parlé comme étant une figure paternelle.



Weinstein, le plus puissant producteur de films à Hollywood, s'était aussi vanté à plusieurs de ses victimes, d'avoir favorisé la brillante carrière de Jennifer Lawrence, en couchant avec elle.  Ce que la principale concernée a vivement nié.  Mais le mal était fait.  Toutes les actrices, abusées par Weinstein, ou/et impliquées dans le mouvement #MeToo, ont tourné le dos à Jennifer, en condamnant sa relation avec le violeur.

Après ce tollé contre elle, Jennifer Lawrence a continué d'enchaîner les rôles dans de grosses productions cinématographiques, mais le succès n'était plus au rendez vous.  Accablée par les critiques, l'actrice américaine native d'Indian Hills (Kentucky), devient alors très insécure, et il lui semble que rien de ce qu'elle fait est bien.  De 2017 à 2019, elle espace autant ses apparitions dans des films, que celles en public.

Puis, en 2019, elle se retire tout simplement de la vie publique et du cinéma.  Son retour à son métier survient en 2021, mais Jennifer se fait beaucoup plus discrète.  Au lieu de faire frénétiquement la promotion de ses films sur toutes les tribunes médiatiques, comme avant, elle en choisit une ou deux seulement.  Et elle s'exprime de manière sobre.  La femme fantasque d'autrefois n'est plus...


Plus question, maintenant, d'étaler sa vie privée au grand jour.  Elle s'en tient au minimum, que ce soit pour parler de son mariage avec Cooke Maroney, un directeur de galerie d'art, ou de leur fils Cy, né en février 2022.  Ils sont rarement vus ensemble en public.

Jennifer ne se fait pas d'illusions.  Le chemin du retour dans la faveur du public sera long et difficile.  Quoique sa maternité, et sa nouvelle maturité, semblent avoir aidé dans sa tentative de réhabilitation auprès de ses anciens fans, qui l'adoraient tant auparavant.

Des difficultés pour rétablir sa réputation et «purifier» sa célébrité ?  Certainement, et pas plus tard que cette semaine, à la Fashion Week de Paris, où Jennifer Lawrence est apparue lors du défilé Dior.  On a tout de suite remarqué son nouveau look.  Devenue blonde, elle a surpris ses admirateurs, non pas par sa tenue vestimentaire, mais par un visage apparemment «botoxé».



Pourquoi cette femme, encore jeune, à 33 ans, et considérée comme une des plus belles actrices au monde, a-t-elle choisi de «figer» sa magnifique figure dans ce que les observateurs ont comparé à un masque de cire.  On dirait une statue de cire du musée Grévin, se sont-ils plaints.

Décidément, Jennifer n'a pas perdu sa vieille habitude de se faire remarquer et de choquer.  Comme lorsqu'elle était enfant, au Kentucky, et que sa mère préférait la faire jouer avec les garçons, parce que sa petite était trop rude avec les fillettes de son âge.  Très tôt et très jeune, elle avait décidé de devenir actrice.  À l'adolescence, après le High School, c'était décidé, elle poursuivrait son rêve.  Malgré les vues de sa mère, qui aurait voulu qu'elle choisisse plutôt le métier de mannequin.

Jennifer possède également le talent de chanteuse.  Pour la trame musicale de Mockingjay, un film de la série des Hunger Games, elle a enregistré le titre "The Hanging Tree".  La chanson s'est retrouvée sur plusieurs palmarès internationaux.  C'est sur cette mélodie que je vous présente le montage photographique ci-dessous :


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